Quand débuter l’instruction de l’enfant? Les 7 étapes indispensables!
L’éducation d’un enfant représente un travail de longue haleine qui nécessite d’être conscient des enjeux que cela représente, mais aussi d’être armé de connaissances et d’outils permettant de donner la meilleure éducation possible à son enfant. L’éducation est une longue mission qui incombe en premier lieu aux parents. Mais quand débute cette mission ?
Je vous laisse le déduire à partir de l’anecdote suivante.
Un homme venant d’avoir un enfant vint voir Malik ibn Nabi pour lui demander des conseils à appliquer pour éduquer son enfant. Celui-ci lui demanda alors s’il était déjà né. L’homme répondit par l’affirmative et précisa qu’il avait quelques semaines. Malik ibn Nabi lui fit comprendre qu’il était déjà trop tard…
On comprend de cette histoire que la personne qui débute l’éducation de son enfant à la naissance a déjà pris du retard, mais il ne faut en aucun cas comprendre qu’il est trop tard pour agir…
Pour d’autres parents, la prise de conscience intervient plus tard encore. Certains attendent que l’enfant commence à parler, d’autres attendent son entrée à l’école à l’âge de trois ans, tandis que d’autres sont persuadés qu’il faut attendre le CP, lorsque l’enfant commence à lire et écrire.
Ces premières années, souvent négligées, représentent pourtant l’âge d’or de l’enfant. Il s’agit d’une période déterminante dans son éducation et sa préparation à un grand avenir.
Maintenant que l’on a compris que l’éducation d’un enfant débute avant même sa naissance, ce qui peut être, à première vue, dur à concevoir, comment doit-on s’y prendre ?
L’objet de notre article est de donner quelques conseils et astuces, classés chronologiquement de la période prénatale jusqu’aux premières années de l’enfant, afin de faciliter cette longue entreprise qu’est son éducation. »
1ère étape: Avant le mariage
Le mariage est une lourde responsabilité. Allah l’a d’ailleurs nommé dans le Saint Coran «engagement solennel ». En effet, le mariage représente pour le croyant de nouvelles responsabilités et de nouveaux devoirs sur lesquels il sera interrogé auprès de son Seigneur.
D’après Abdallah Ibn Omar (qu’Allah les agrée), le Prophètea dit:« Chacun d’entre vous est un berger et chacun d’entre vous sera interrogé concernant son troupeau. Le dirigeant est un berger, l’homme est un berger pour les gens de son foyer, la femme est une bergère au sein du foyer de son époux et pour ses enfants. Ainsi chacun d’entre vous est un berger et chacun d’entre vous sera interrogé concernant son troupeau ».(Rapporté par Boukhari et Mouslim)
C’est pour cela que le mariage ne s’improvise pas. Il doit être anticipé, préparé, afin d’être par la permission d’Allah, une union fructueuse. Cela passe par l’éducation de nos jeunes à la responsabilité du mariage en leur faisant comprendre ses buts et ses finalités. Si cela n’a pas été fait, il incombe alors à tout jeune inspirant au mariage, de s’éduquer afin de l’appréhender de la meilleure des manières et d’éviter de tomber dans de nombreuses erreurs qui peuvent rapidement transformer cette union en échec. Il est important également de prendre conseil auprès de personnes pieuses et éclairées sur le sujet, nous ayant précédés dans l’expérience du mariage. Un mariage, s’il est réussi, représente une terre fertile sur laquelle pourront pousser des enfants pieux.
« Le bon pays, sa végétation pousse avec la grâce de son Seigneur; quant au mauvais pays, (sa végétation) ne sort qu’insuffisamment et difficilement. Ainsi déployons-Nous les enseignements pour des gens reconnaissants »(Sourate Al A3raf, verset 58)
Un parent qui souhaite transmettre une bonne éducation doit, lui-même, l’avoir acquise au préalable. C’est pour cela que le Prophète nous dit:
« Lorsque vient à vous, pour demander la main, celui dont vous êtes satisfait de sa religion et de son comportement, alors mariez-le. Si vous ne le faites pas il y aura sur la terre une épreuve et un grand désordre. »(Rapporté par Tirmidhi)
Pour quelles raisons ces deux qualités, que sont la religiosité et le bon comportement, doivent être recherchées chez un prétendant au mariage ? Tout simplement car celui qui les possède sera en mesure d’assumer, par la permission d’Allah, un mariage et toutes les responsabilités qu’il comporte.
2ème étape: Du mariage à la grossesse
L’un des objectifs du mariage est d’obtenir une descendance large et pieuse.
D’après ‘Aicha (qu’Allah l’agrée), le Prophète a dit: « Le mariage est ma sounna et celui qui ne pratique pas ma sounna ne fait pas partie de moi. Mariez-vous je serais certes fier que vous soyez la communauté la plus nombreuse parmi les autres communautés le jour du jugement».(Rapporté par Ibn Maja et authentifié par Cheikh Albani dans Sahih Al Jami n°6807)
Il est donc important d’orienter nos choix de vie afin de pouvoir donner la meilleure éducation possible à nos enfants, et ce avant même leur naissance. À titre d’exemple, nous pouvons citer le choix du lieu de résidence ou de l’emploi exercé. Un parent soucieux de l’éducation de son enfant privilégiera une ville dans laquelle se trouvent des structures islamiques de qualité à proximité (école, mosquée…). Il s’attachera également à rechercher un emploi pas trop prenant, lui permettant d’accorder du temps à sa famille, mais aussi dans lequel, il ne figure aucune ambiguïté quant à son caractère licite et ceci, afin d’assurer une bonne subsistance à sa famille, car la subsistance illicite a un impact sur le corps et sur le cœur de la personne qui la consomme.
On comprend ainsi les recommandations des femmes pieuses à leur époux, du temps des pieux prédécesseurs, lorsque ces derniers sortaient du foyer familial pour aller rechercher leur subsistance : « Crains Allah dans ce que tu vas nous apporter, car nous pouvons patienter face à la faim mais nous ne pourrons pas patienter face au feu de l’enfer ».
3ème étape: De la grossesse à l’accouchement
Une fois l’épouse enceinte, il convient de redoubler de vigilance quant à la nourriture et la boisson qu’elle consomme afin de que ne parvienne à l’enfant que ce qui est licite. Il est d’ailleurs apporté au sujet de l’imam Al Juhayni, une sommité de l’école de jurisprudence chafé’ite, que son père fut très minutieux dans son éducation.
En plus d’être scrupuleux dans l’acquisition de sa subsistance, il refusait que son enfant avale la moindre nourriture sans qu’il ait au préalable la certitude qu’elle soit licite. Un jour alors que sa femme priait, son enfant se mit à pleurer. Une voisine qui était présente le prit alors et lui donna le sein afin de le calmer. Son père entra à ce moment-là et voyant cela, il prit immédiatement son fils et lui mit les doigts dans la bouche afin de lui faire vomir ce qu’il venait d’ingurgiter. Une fois devenu un grand savant connu et reconnu, alors qu’il se trouvait un jour en plein débat scientifique, Al Juhayni eu un moment d’hésitation. Interrogé sur le sujet, il supposa que cela était surement dû au reste de cette tétée ingurgitée au cours de son enfance.
Au cours de la grossesse, l’enfant interagit avec le monde extérieur. Il est donc indispensable de débuter l’écoute du Coran afin que l’enfant soit lié à la parole d’Allah avant même sa venue au monde. Pour cela, la future maman peut mettre en place une écoute quotidienne de 30 minutes par exemple, au cours de laquelle elle s’allonge et se détend, afin que l’enfant associe cette écoute du Coran à un moment de sérénité et d’apaisement.
4ème étape: De la naissance à 1 an
Fais partie de la Sunna, lors de la naissance du nouveau-né, de lui prononcer al adhan (l’appel à la prière) dans l’oreille, afin que la devise de l’Islam soit la première parole qu’il entende dans ce monde. Le célèbre érudit, Ibn Al Qayyim, dit à ce sujet dans son ouvrage « les préceptes islamiques relatifs au nouveau-né » : « Il n’est pas exclu que les effets de cet adhan parviennent au cœur du nouveau-né, même si il n’en est pas conscient »
Multipliez l’écoute du Coran afin de lui faire aimer et de le préparer à sa mémorisation lorsqu’il commencera à parler. Vous pouvez faire cela à tout moment, en privilégiant les moments de calme et de sérénité comme lors de l’allaitement ou avant la sieste.
Il est également important de parler à l’enfant en arabe, ou de lui faire écouter la langue arabe au cours de sa première année d’existence, afin qu’elle soit pour lui une langue maternelle. Certaines recherches sur la plasticité cérébrale du nourrisson avancent qu’un enfant reconnaît et réagit à une langue au niveau du cerveau lorsqu’il l’a fréquemment entendu entre 9 et 12 mois. Le mieux est de lui parler directement, mais en cas d’incapacité des parents à s’exprimer en arabe, on peut recourir à l’usage de supports audio tels que des CDs ou des dessins animés.
Les fruits de ces efforts seront, bi idni Allah, énormes et faciliteront grandement l’apprentissage de l’enfant que ce soit au niveau de la mémorisation du Coran ou de l’étude des sciences islamiques en arabe; ils lui ouvriront, dès son plus jeune âge les portes de la bibliothèque Islamique.
5ème étape: de 1 an à 2 ans
L’enfant commence à parler et prononce ses premiers mots.
Ibn Al Qayyim dit à ce sujet, dans le même ouvrage : « Dès qu’il commence à articuler quelques mots, on lui fait répéter:« La ilaha illa Allah, mohammadoun rasoul ALLAH », et que les premières paroles qu’il entende soit la connaissance d’Allah et son unicité, qu’il est au-dessus du trône observant les créatures et entendant leurs paroles là où ils se trouvent. »
Il est également intéressant de jouer à le faire répéter les lettres de l’alphabet arabe afin de lui faciliter leur prononciation le plus rapidement possible. Pour cela, vous pouvez utiliser des supports vidéo (nombreux sur internet) avec lesquels les enfants répètent l’alphabet avec un air pour faciliter la mémorisation. Vous pouvez également demander à votre enfant de répéter après vous les lettres que vous vocaliserais avec les différentes harakates. Par exemple pour la lettre “ba”
Vérifiez au préalable que vous prononcez correctement les lettres afin de ne pas transmettre d’éventuelles erreurs à votre enfant. Le mieux est de trouver une personne de votre entourage ayant une bonne prononciation afin qu’elle vous corrige en cas de besoin. Si vous n’avez personne à porter de main, recourez aux nombreux supports vidéo sur internet.
Avancez dans l’alphabet au rythme de votre enfant, en le faisant réviser l’ensemble des lettres acquises avant de passer à une nouvelle lettre. Cet exercice, extrêmement simple, sera, incha Allah, d’un profit énorme pour votre enfant. Ne le négligez pas. Il peut être fait n’importe où, dans la voiture, assis dans sa chaise haute pendant que vous lui préparez son repas, en marchant ou en montant les escaliers, accompagné de gestes et de rires afin de faciliter l’apprentissage multi-sensoriel. Privilégiez également l’apprentissage informel afin de ne pas lasser l’enfant et choisissez des moments où il n’est pas grincheux. Il prendra cela pour un jeu et ne se lassera pas de répéter avec vous. Une fois l’alphabet maîtrisé, vous pouvez commencer à lui faire prononcer des mots après chaque lettre.
6ème étape: De 2 ans à 3 ans
C’est le moment de débuter l’apprentissage du Coran. Pour certains enfants, cela peut même débuter avant. Il convient de commencer par la Fatiha qui normalement s’apprend sans effort si on l’a beaucoup entendu préalablement, qu’il s’agisse d’un enregistrement ou tout simplement au cours des prières à haute voix effectuées par les parents. Il est indispensable pour le parent de prendre en charge cette tâche de ne pas la déléguer car elle est une source énorme de hassanates. En effet l’enfant, par la permission d’Allah, sera amené à la répéter durant sa vie, au moins 17 fois par jour. Une fois la Fatiha mémorisée, passez aux dernières sourates du Coran. Vous pouvez laisser la sourate tourner en boucle sur les applications de smartphone ou sur les tablettes, pendant que l’enfant joue, ou mange et même avant de dormir. Cela lui facilitera la mémorisation et la prononciation une fois que vous lui demanderez de répéter les versets.
Vous l’avez compris, la méthode est simple et accessible à tous, il suffit de répéter. Récitez le verset puis demandez à votre enfant de répéter après vous. Une fois le verset mémorisé, passez au suivant.
Ne soyez pas trop exigeant avec vos petits bouts de choux au niveau de la prononciation, celle-ci s’améliorera au fur et à mesure de son apprentissage. Elle ne doit donc pas être un frein à sa progression. Armez-vous également de patience, car la machine peut mettre du temps à se lancer, et certains enfants ont besoin de répéter beaucoup plus que d’autres.
Vous pouvez à partir de ses deux ans (si ce n’est pas déjà fait), mettre en place une lecture quotidienne qui consistera en la description d’imagiers afin de lui faire acquérir du vocabulaire. N’hésitez pas à rendre la lecture interactive en lui posant des questions. Vous pouvez vous partager le travail, un parent s’occupant de la langue arabe et l’autre, de la langue française.
De manière générale, afin d’enrichir le vocabulaire de votre enfant, enrichissez d’abord votre propre vocabulaire et corrigez votre façon de parler si vous avez pris de mauvaises habitudes. Une étude effectuée sur 42 familles, au cours de laquelle les enfants ont été suivis depuis l’âge de sept mois jusqu’à leurs trois ans, démontre que leur vocabulaire est de 86 % à 90 % de même nature que celui de leurs parents. Dans les milieux aisés, où le vocabulaire est souvent riche et élaboré, certains enfants peuvent entendre jusqu’à 30 millions de mots de plus que les enfants des classes défavorisées. Pourquoi ? Car dans les milieux aisés, le dialogue est privilégié, les échanges intellectuels fréquents… contrairement aux classes défavorisées où le vocabulaire est pauvre, et le dialogue parents/enfants se fait rare et se compose principalement de l’usage de l’impératif pour demander à l’enfant d’exécuter une tâche ou de cesser de faire telle ou telle chose.
Des statistiques récentes avancent que 20 % des enfants ont un vocabulaire actif de moins de 200 mots à la sortie de la maternelle alors que 20 % en ont plus de 2000. Une différence énorme qui explique le gouffre qui se forme entre les élèves tout au long de la scolarité.
7ème étape: A partir de 3 ans jusqu’à 6 ans
C’est le moment pour l’enfant d’intégrer une structure et de commencer son apprentissage à l’extérieur de son cercle familial. L”instruction en France n’étant pas obligatoire avant six ans, il reste préférable de trouver une structure musulmane afin d’accompagner l’enfant et de lui permettre de découvrir de nouvelles choses, de se faire des amis et de s’enrichir à travers ces nouvelles interactions qui s’offrent à lui. Trouver une structure musulmane de qualité n’est pas une mince affaire, d’autant plus que le nombre d’établissements existant reste limité et que la plupart sont encore dans leur phase de lancement. Mais c’est un effort et un sacrifice à faire afin que la communauté puisse un jour jouir de structures de qualité dotées d’une expérience solide. Beaucoup hésitent face à l’organisation et au coût que cela représente, mais la bonne éducation de nos enfants n’a pas de prix, et les fruits obtenus sont fonction du sacrifice réalisé.
En parallèle, il est important de poursuivre son apprentissage du Coran en trouvant une structure qui puisse l’accueillir plusieurs fois par semaine, afin que le Coran occupe une place importante dans sa vie, et qu’il ne soit pas relayé à une simple activité extrascolaire secondaire, comme c’est le cas dans la plupart des familles.
Une remarque importante à faire est que l’école, quelle qu’elle soit, reste un complément, qui n’exempte en aucun cas les parents de poursuivre leurs efforts à la maison. Beaucoup de parents voient en l’école une libération sur laquelle ils peuvent jeter leur fardeau, et délèguent la totalité de l’apprentissage de l’enfant à l’école, ou inscrivent leurs enfants à des cours de Coran pour se donner bonne conscience, sans accorder de suivi à leurs enfants. Le foyer reste le lieu où l’enfant passe le plus de temps. Par conséquent, même après leur entrée à l’école, il est essentiel de continuer à les stimuler en leur proposant des activités, en révisant avec eux, en alimentant leur curiosité dans la recherche du savoir et la découverte du monde qui les entoure.
Enfin, cette phase est propice à l’apprentissage de la lecture et de l’écriture. Plus tôt elles seront acquises, plus tôt l’enfant aura accès au savoir de manière indépendante. Parmi les erreurs du système éducatif actuel figure le fait de repousser de manière systématique leur apprentissage à l’âge de 6 ans. Chaque enfant a des capacités différentes, adaptez-vous donc à votre enfant et ne le priver pas de jouir de son potentiel.
En conclusion, on comprend, à travers ce modeste article, que l’éducation de l’enfant est un projet de vie qui débute, contrairement aux idées reçues, bien avant les 6 ans de l’enfant, et se poursuit jusqu’à la mort du parent. Méditons sur le verset de la sourate Al Baqara dans lequel le Prophète Ya’qoub (sur lui la paix), exhorte ses enfants alors qu’il est sur son lit de mort, après avoir passé sa vie à éduquer ses enfants.
« Etiez-vous témoins quand la mort se présenta à Jacob et qu’il dit à ses fils: “Qu’adorerez-vous après moi”? – Ils répondirent: “Nous adorerons ta divinité et la divinité de tes pères, Abraham, Ismaël et Isaac, Divinité Unique et à laquelle nous sommes Soumis”. »(Al Baqara, verset 133)
Qu’Allah nous accorde la réussite dans l’éducation d’une génération dorée. Amin !!
Abou Ibrahim
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Salam alaykoum,
j’ai beaucoup aimé lire cet article!
Je suis complètement d’accord avec le fait que de penser à l’éducation de nos enfants commence bien avant d’avoir des enfants. Toutes les “grandes” décisions autours des enfants ont été prise bien avant d’en avoir pour notre part et el Hamdoulillahi et ça nous a énormément servi.
Cet article est un excellent rappel pour montrer l’importance du bas âge trop négligé alors que c’est là que l’on fait les fondations et les pilers de l’éducation.
J’ai particulièrement aimé dans cet article deux choses:
– ce petit détail qui montre que même ce qui peut paraître un petit détail tout banal est important:
“Une voisine qui était présente le prit alors et lui donna le sein afin de le calmer. Son père entra à ce moment-là et voyant cela, il prit immédiatement son fils et lui mit les doigts dans la bouche afin de lui faire vomir ce qu’il venait d’ingurgiter.” (excellent^^)
-l’importance du choix de son épouse/époux car beaucoup oublie que l’on épouse la personne qui va éduquer nos enfants avec nous.. Ce détail est LE détail primordial à la bonne éducation des enfants qui va en découler.. j’ai vraiment aimé encore plus particulièrement ce point car il est vraiment important à le souligner et signaler^^. C’est LE point du commencement de l’éducation, la vraie base en faite)).
Wa alaykoum assalam chère Sophia ! BarakAllahoufiki pour ton commentaire ! Et oui , malheureusement nous ne sommes pas assez formés dans le choix de nos époux(ses), on se précipite souvent vers le mariage sans réellement réfléchir aux questions concernant l’éducation des futurs enfants…Et les risques bien sûr, ce sont des désaccords entre les époux qui peuvent être fatals pour le couple (( Qu’Allah mette la baraka dans nos foyers !
Qu’Allah vous préserve pour cet travail que vous faites pour la communauté. Le mariage est plus qu’un acte religieux mais une science religieuse qu’il faudra nous inviter à aller étudier avant de se lancer. J’ai pas fini de lire l’article ne se reste que le début est déjà édifiant pour moi.
amin ! barakAllahoufik! Qu’Allah vous accorde un conjoint pieux
As Salamu’Alaykum,
L’article est très fructueux Allahumma Barik, beau travail!
Qu’Allah fasse de nos enfants une descendance pieuse.
Alaykoum salam! BarakAllahoufiki, amin!!
Assalamoualaikoum !
Cet a article est pour moi une source de motivation.
Puisse allah vous récompenser